Mince alors ! Heureusement que...

Il semble que des scientifiques (Tellegen et al, 1988) aient démontré que l’émotivité déplaisante que nous ressentons dépendrait à 55% de nos gênes tandis que l ‘émotivité plaisante n’en dépend qu’à 40%...

 

Mais il a aussi été montré que si certains traits liés aux gènes sont peu modifiables (l’orientation sexuelle et le poids moyen par exemple), d’autres, tels que la peur, le pessimisme, etc. peuvent être considérablement modifiés par les conditions de vie et par un entraînement mental (Ricard, 2003).

Donc une modification de notre façon de penser peut contrebalancer notre capital génétique. Ouf !